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PASS Anatomie Organisation des appareils et des systèmes

28 décembre 2020

Ancienne UE 5 PACES Par Monique Remillieux

Systéme articulaire

Systéme articulaire

Table des matières de l'ouvrage

  1. Qu'est-ce que le corps humain ?

  2. Système osseux

  3. Système articulaire

  4. Système musculaire.

  5. Tête et cou

  6. Dents

  7. Membres.

  8. Tronc

  9. Colonne vertébrale

  10. Système nerveux central

  11. Système nerveux périphérique.

  12. Organes sensoriels.

  13. Appareil cardio-vasculaire

  14. Appareil respiratoire.

  15. Appareil digestif.

  16. Appareil urogénital

  17. Appareil endocrinien.

  18. Croissance et sénescence.

  19. Corrigés

Voici la partie Cours du chapitre 3 : système articulaire

Système articulaire

I.   Synarthroses II.  Amphiarthroses III. Articulations synoviales IV. Sysarcoses V.  Vascularisation et innervation des articulations VI. Développement des articulations VII. Exploration clinique Exercices

Le système articulaire, étudié par l'arthrologie, est constitué des jointures, dont la fonction est indispensable au mouvement. Une articulation, ou jointure, est le moyen d'union des pièces osseuses ou cartilagineuses voisines. Toutes les articulations ne sont pas mobiles. Il existe trois principaux types d'union des pièces osseuses ou jointure, que l'on distingue selon leur structure :

  • les synarthroses ou jointures fibreuses (fig. 3.1);

  • les amphiarthoses ou jointures cartilagineuses (fig. 3.1);

  • les articulations ou jointures synoviales (fig. 3.2).

Les synarthroses et les amphiarthroses, contrairement aux articulations synoviales, n'ont pas de cavité articulaire ; ce sont des articulations dites solides.

Figure 3.1: Les synarthroses ou jointures fibreuses et les amphiarthoses ou jointures cartilagineuses

Figure 3.1: Les synarthroses ou jointures fibreuses et les amphiarthoses ou jointures cartilagineuses

Figure 3.2: Les articulations ou jointures synoviales

Figure 3.2: Les articulations ou jointures synoviales

I. Synarthroses

Les synarthroses ou jointures fibreuses sont aussi dites « articulations immobiles ». Les surfaces osseuses sont unies par du tissu conjonctif. Il n'y a pas de cartilage articulaire.On distingue :

  • les synfibroses où l'interligne articulaire est occupé par du tissu fibreux. Dénommées aussi

    sutures au niveau du crâne, ce sont des articulations où le tissu fibreux qui unissait initialement l'os s'ossifie progressivement et forme une suture plane, écailleuse ou dentelée (fig. 3.1). Les articulations entre les os du crâne et certains os de la face sont des sutures ;

  • un cas particulier est la schyndilèse: crête osseuse s'articulant avec une rainure, comme entre le vomer et l'os sphénoïdal ;

  • les syndesmoses : ce sont des articulations où les surfaces osseuses sont éloignées l'une de l'autre et sont unies par une vaste formation de tissu conjonctif. La membrane interosseuse tendue entre les deux os de l'avant-bras ou de la jambe et les ligaments jaunes tendus entre les lames des vertèbres sont des syndesmoses ;

La gomphose est une articulation fibreuse particulière unissant une dent à un alvéole dentaire par du tissu fibreux, le périodonte d'insertion (voir fig. 6.1).

II. Amphiarthroses

Les amphiarthroses ou jointures cartilagineuses regroupent les synchondroses et les amphiarthroses proprement dites.

1. Synchondroses

Ce sont, pour la plupart, des articulations temporaires au cours de la croissance. Au niveau de l'articulation sphéno-occipitale de la base du crâne, la synchondrose disparaît lorsque le cartilage hyalin qui la constitue s'ossifie pour former une synostose. Au niveau des os longs des membres, la synchondrose entre l'épiphyse et la diaphyse constitue le cartilage de conjugaison qui dirige la croissance en longueur de l'os ; lors de traumatisme, elles peuvent être le siège de décollement épiphysaire

2. Symphyses, ou amphiarthroses proprement dites

Les symphyses sont également dites amphiarthroses. Ce sont des articulations semi-mobiles. Les surfaces osseuses sont unies par une structure mixte fibreuse et fibrocartilagineuse renforcée par des ligaments périphériques. Au niveau des corps vertébraux, il existe à la partie centrale une ébauche de cavité articulaire qui est remplie d'une substance gélatineuse, appelée le nucleus pulposus ; la partie périphérique, composée de couches fibreuses d'orientation variables, est appelée annulus fibrosus. Les articulations entre les corps vertébraux (disque intervertébral) et la symphyse pubienne sont des symphyses. La mobilité de ces articulations est réduite.

III. Articulations synoviales

Les articulations ou jointures synoviales sont caractérisées par l'existence d'une cavité articulaire et d'une membrane synoviale. De ce fait anatomique, ce sont des articulations mobiles. Ce sont les plus élaborées de l'organisme. Elles constituent la majorité des articulations des membres et permettent une amplitude de mouvement généralement importante (fig. 3.2).

A. Constitution

Les articulations synoviales sont formées par des surfaces articulaires, osseuses ou fibrocartilagineuses, et par des moyens d’union.

1. Surfaces articulaires

a. Surfaces articulaires osseuses

Les surfaces osseuses sont recouvertes de cartilage articulaire, ou cartilage hyalin, lisse blanc bleuté. L'épaisseur du cartilage hyalin est proportionnelle à la pression qu'il supporte. Ce cartilage n'est pas vasculariséLa dégénérescence du cartilage hyalin est responsable de l’arthrose.

b. Surfaces articulaires fibrocartilagineuses

Les structures fibrocartilagineuses existent en cas d’incongruence articulaire et sont interposées entre les surfaces osseuses. Il existe trois types de fibrocartilages, labrum, ménisque et disque, que l’on différencie en fonction de leurs insertions et de leur morphologie:

  • un labrum (ou bourrelet articulaire) (fig. 3.3, A) est triangulaire sur une coupe transversale. Il s’insère par une face sur la périphérie de la zone articulaire osseuse et par une deuxième face sur la capsule articulaire. La troisième face est libre et recouverte de cartilage articulaire continuant le cartilage recouvrant la surface articulaire osseuse. Les labrums augmentent la profondeur et la surface de la zone articulaire, comme par exemple au niveau de la cavité glénoïdale de la scapula ou de l’acétabulum de l’os coxal

  • un ménisque (fig. 3.3, B) est interposé entre deux surfaces osseuses. Il est triangulaire sur une coupe transversale. Mais si sa périphérie est adhérente à la capsule articulaire, les deux autres faces sont libres à l’intérieur de la cavité articulaire ; elles sont articulaires avec les surfaces articulaires voisines. L'articulation du genou comprend deux ménisques, un latéral et un médial

  • un disque (fig. 3.3, C) est une lentille biconcave qui forme une cloison complète dans la cavité articulaire en adhérant par sa périphérie à la capsule articulaire. Le disque délimite ainsi deux cavités secondaires comme au niveau de l’articulation temporomandibulaire

Ces trois types de fibrocartilages sont dépourvus de vaisseaux et de nerfs.L’absence de vascularisation ne permet pas la cicatrisation d’une déchirure fibrocartilagineuse. Ainsi, un fragment méniscal rompu et à l'origine d'une symptomatologie clinique doit être enlevé.

Figure 3.3: Surfaces articulaires fibrocartilagineuses

Figure 3.3: Surfaces articulaires fibrocartilagineuses - A. Labrum; B. Ménisque; C. Disque. En violet : structure fibrocartilagineuse. En bleu foncé : cartilage hyalin. En bleu clair : cavité articulaire, limitée par la membrane synoviale.

2. Moyens d’union

Les moyens d’union des surfaces articulaires sont la capsule articulaire et les ligaments articulaires.

a. Capsule articulaire

La capsule est un manchon fibreux qui s’insère au pourtour ou au voisinage des surfaces articulaires osseuses. Elle comprend deux parties:

  • Une partie externe fibreuse, la membrane fibreuse, d’épaisseur et de résistance variables

  • Une partie interne, la membrane synoviale, qui tapisse la face interne de la capsule et les surfaces osseuses intra-articulaires non recouvertes  de cartilage

La membrane synoviale est richement vascularisée et innervée. Elle sécrète la synovie, ou liquide synovial, liquide translucide, visqueux, qui favorise le glissement des surfaces articulaires ; elle contribue à leur nutrition. Avec le cartilage articulaire, la membrane synoviale limite la cavité articulaire. Elle peut faire des culs-de-sac lorsque la capsule est lâche, comme au niveau de l’articulation glénohumérale. Sa face interne peut présenter des franges synoviales en regard des interlignes articulaires, comme au niveau de l’articulation du coude.

b. Ligaments

Les ligaments sont des moyens d’union résistants; ce sont des lames fibreuses qui unissent les pièces constitutives de l’articulation. Selon leur situation topographique, on distingue :

  • Les ligaments capsulaires sont des épaississements de la membrane fibreuse

  • Les ligaments extracapsulaires sont à distance de l’articulation et sont indépendants de la capsule

  • Les ligaments intracapsulaires sont à l’intérieur de la capsule mais en dehors de la cavité articulaire, comme les ligaments croisés de l'articulation du genou

Ces ligaments sont les moyens de stabilisation passive d'une articulation. Sur le plan fonctionnel, ils sont complétés par les tendons des muscles périarticulaires qui sont des moyens de stabilisation active.

B. Classification des articulations synoviales

1. Classification morphologique

Cette classification est fondée sur la morphologie des surfaces articulaires (voir chapitre 7). On en distingue six types :

  • L’articulation sphéroïde unit deux surfaces sphériques inversées, l'une pleine et l'autre creuse (fig. 3.4, A). Des exemples en sont les articulations scapulo-humérale  et coxofémorale. Elles ont une grande mobilité, permettant des mouvements dans les trois plans de l’espace

  • L’articulation ellipsoïde unit deux surfaces ellipsoïdales, l'une concave et l'autre convexe (fig. 3.4, B). Un exemple en est l'articulation radiocarpienne (poignet) ;

  • L’articulation sellaire (ou en selle, ou par emboîtement réciproque) unit deux surfaces osseuses convexes dans un sens et concaves dans l’autre, de conformation inverse (fig. 3.4, C).Un exemple est l'articulation carpométacarpienne du pouce ;

  • Le ginglyme (ou articulation trochléenne) unit deux surfaces en forme de poulie, l’une pleine, l’autre creuse (fig. 3.4, D). Un exemple est l'articulation huméro-ulnaire au niveau du coude ;

  • L’articulation trochoïde unit deux surfaces cylindriques, pleine et creuse (fig. 3.4, E). Des exemples sont les articulations radioulnaires proximale et distale ;

  • Les articulations planes unissent deux surfaces planes (fig. 3.4, F).Des exemples sont les articulations zygapophysaires des apophyses articulaires des vertèbres thoraciques, et l'articulation acromioclaviculaire. Contrairement aux articulations précédentes, la mobilité de ce type d'articulation est réduite.

Classification morphologique des articulations synoviales:

A. Articulation sphéroïde. B. Articulation ellipsoïde (condylaire). C. Articulation sellaire (en selle). D. Articulation trochléenne (ginglyme). E. Articulation trochoïde. F. Articulation plane.

Figure 3.4: Classification morphologique des articulations synoviales

Figure 3.4: Classification morphologique des articulations synoviales

3. Classification fonctionnelle

Cette classification est fondée sur le nombre d’axes mécaniques autour desquels s’effectuent les mouvements des leviers osseux. Le mouvement des leviers osseux s’effectue autour d’un, de deux ou de trois axes en fonction de la morphologie des surfaces articulaires mises en jeu. Les articulations ont ainsi un, deux ou trois degrés de liberté.

  • les articulations à trois degrés de liberté, qui correspondent aux sphéroïdes ayant trois axes mécaniques et permettent des mouvements dans les trois plans de l'espace. La combinaison des mouvements autour des trois axes sagittal, transversal et axial permet la 

    circumduction (fig. 3.5) qui est l'association de flexion-extension, d'abduction-adduction et de rotation axiale. L'ensemble des mouvements possibles est représenté par un cône dont le sommet correspond au centre de l'articulation et la base correspond au cercle décrit par l'extrémité distale du membre ;

  • les articulations à deux degrés de liberté, qui sont les ellipsoïdes et les articulations sellaires. Elles se font autour de deux axes mécaniques. Elles permettent deux types de mouvement : flexion-extension et latéralité pour les ellipsoïdes, mouvement d'opposition pour les sellaires ;

  • les articulations à un degré de liberté, qui ont un axe de rotation vertical pour les articulations trochoïdes (pronosupination) et horizontal (flexion-extension) pour les articulations trochléennes. Elles autorisent un seul type de déplacement.

Figure 3.5: Mouvements du membre thoracique

Figure 3.5: Mouvements du membre thoracique

Les articulations planes n'ont que des mouvements de glissement limités sans axe directeur, comme au niveau du carpe, du tarse ou de l'articulation acromioclaviculaire.

Les mouvements autour d'un axe sagittal sont :

  • l'abduction, qui écarte un segment du plan médian ;

  • et l'adduction, qui rapproche le segment du plan médian.

Les mouvements autour de l'axe transversal sont :

  • la flexion, qui « ferme » l'articulation ;

  • et l'extension, qui « ouvre » l'articulation.

Les mouvements autour d'un axe vertical sont :

  • la rotation latérale, qui porte la face antérieure du segment considéré en dehors ;

  • et la rotation médiale, qui porte la face antérieure du segment considéré en dedans (fig. 3.5).

Mécanique articulaire

  • La position de repos d’une articulation est la position permettant la relaxation maximale de la capsule articulaire et des structures périarticulaires. C’est également la position antalgique de l’articulation.

  • La position de fonction est la position d’une articulation la plus adaptée à une fonction donnée. C’est dans cette position qu’une articulation devra être immobilisée en cas de nécessité.

4. Classification selon le type des surfaces articulaires

  • Les articulations simples réunissent deux os et regroupent au sein d'une même cavité articulaire un seul type d'articulation.

  • Les articulations complexes réunissent plus de deux os et sont formées par des articulations de types différents au sein d'une même cavité articulaire, comme au niveau du coude et du genou.

IV. Sysarcoses

Les sysarcoses ou articulations fasciales sont formées par l'interposition d'un muscle, entouré de ses fascias, entre deux surfaces osseuses. Un exemple est l'interposition du muscle dentelé antérieur entre la scapula et la face postérieure du thorax. L'interposition de ce muscle permet les mouvements de glissement de la scapula sur le thorax lors des mouvements amples de l'épaule. Les mouvements se font par glissement des fascias (enveloppes fibreuses) dans l'espace serrato-thoracique entre le muscle dentelé antérieur et la paroi thoracique, et dans l'espace serratoscapulaire entre le muscle dentelé antérieur et le muscle subscapulaire.

V. Vascularisation et innervation des articulations

Les articulations, notamment synoviales, sont richement vascularisées et innervées. Les vaisseaux proviennent des cercles artériels et veineux périarticulaires. Les vaisseaux lymphatiques se drainent dans les nœuds profonds de la région.Les nerfs des articulations appartiennent au système nerveux périphérique cérébrospinal et au système nerveux végétatif. Les nerfs proviennent le plus souvent des branches collatérales des nerfs destinés aux muscles agissant sur l'articulation. De nombreux récepteurs sensitifs spécifiques, particulièrement au niveau de la capsule articulaire et des ligaments articulaires, jouent un rôle fondamental dans la sensibilité à la douleur (les entorses sont douloureuses) et dans la sensibilité proprioceptive pour le maintien de la posture et la coordination des mouvements.

VI. Développement des articulations

Les ébauches cartilagineuses de deux pièces osseuses voisines sont séparées par du mésenchyme indifférencié. L’évolution de ce mésenchyme en tissu fibreux, en tissu cartilagineux ou en cavité articulaire permet le développement des trois principaux types d’articulations:

  • Le mésenchyme indifférencié des articulations fibreuses évolue en tissu fibreux qui s’organisera pour former une syndesmose après différenciation complète ou qui s’ossifiera secondairement pour former une suture

  • Le mésenchyme indifférencié des articulations cartilagineuses évolue en fibrocartilage

  • Le mésenchyme indifférencié des articulations synoviales se creuse d’une cavité articulaire sous l’effet d’une vacuolisation tissulaire et se différencie autour de la cavité articulaire en membrane capsulaire à deux couches, fibreuse superficielle et synoviale profonde

VII. Exploration

A. Examen clinique

L’examen clinique des articulations synoviales explore de manière bilatérale et comparative l’amplitude et la direction des mouvements. Cet examen est passif et actif.

B. Imagerie

La radiographie standard, qui permet uniquement la visualisation des surfaces osseuses et de l’interligne articulaire, est l’examen le plus simple et le plus pratiqué. L’opacification des cavités articulaires par injection de produit de contraste dans l’articulation (arthrographie) permet l’évaluation indirecte des structures intra-articulaires. Elle peut être couplée à la réalisation d’un scanner (arthroscanner). L’échographie et surtout l’IRM permettent la visualisation du cartilage articulaire et des fibrocartilages de manière non invasive. L’arthroscopie est une endoscopie directe des cavités articulaires qui nécessite l’introduction dans la cavité articulaire d’un optique.L'arthroscopie permet la visualisation des structures intra-articulaires et, éventuellement, la réalisation de gestes interventionnels comme l'ablation de fragments méniscaux déchirés.

C. Pathologie

Il existe :

  • des pathologies non traumatiques : les arthrites, infectieuses ou inflammatoires, et les arthroses dégénératives ;

  • des pathologies traumatiques articulaires, les plus fréquentes étant les luxations (perte de contact de deux surfaces articulaires) et les entorses (rupture ou élongation ligamentaire).

  • Il existe trois grands types d’articulations, que l’on distingue selon leur structure: les synarthroses, les amphiarthroses, et les articulations synoviales.

  • Les articulations synoviales sont les plus élaborées et permettent les mouvements les plus amples.

  • Les articulations synoviales sont caractérisées par l’existence d’une cavité articulaire et d’une membrane synoviale.

  • Les surfaces articulaires des articulations synoviales sont recouvertes de cartilage hyalin.

  • Les articulations synoviales sphéroïdes sont les plus mobiles, avec trois degrés de liberté, permettant des mouvements dans les trois plans de l’espace.

Vous venez de lire la partie Cours du chapitre 3 : système articulaire de l'ouvrage Toute l'UE 5 – Anatomie. Ce chapitre se termine par 2 planches muettes à compléter et 10 QCM.Toute l'UE 5 – Anatomie

© 2019, Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés

Auteurs

Vincent Delmas est membre de l'Académie nationale de médecine, professeur émérite en anatomie (faculté de médecine, Université Paris Descartes) Paris.

Dominique Brémond-Gignac est professeur des universités en ophtalmologie (faculté de médecine Paris Descartes, directrice du département d'orthoptie à Université Paris Descartes), praticien hospitalier, chef du service d'ophtalmologie pédiatrique à l'hôpital Necker-Enfants Malades, AP-HP, Paris ; coordonnatrice du Centre de maladies rares en ophtalmologie OPHTARA ; coordonnatrice du Centre de recherche clinique CLAIROP n° 48 Unité CNRS FR3636.

Olivier Clément est professeur des universités en radiologie (faculté de médecine, Université Paris Descartes) et praticien hospitalier, service de radiologie, hôpital européen Georges-Pompidou, Paris.

Richard Douard est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université Paris Descartes), praticien hospitalier, service de chirurgie viscérale, générale et cancérologique, hôpital européen Georges Pompidou, Paris.

Sophie Dupont est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université Pierre-et-Marie-Curie), praticien hospitalier, service de neurologie, hôpital Pitié-Salpêtrière, AP-HP, Paris.

Christian Latrémouille est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université Paris Descartes), praticien hospitalier, service de chirurgie cardiaque, hôpital européen Georges-Pompidou, Paris.

Jean Marie Le Minor est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université de Strasbourg), praticien hospitalier, service d'imagerie bucco-dentaire, CHU de Strasbourg.

Nicolas Pirró est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Marseille, secteur Timone), praticien hospitalier, service de chirurgie digestive et générale, hôpital La Timone, Marseille.

Philippe Sèbe est chirurgien urologue, Groupe hospitalier Diaconesses Croix-Saint-Simon, Paris.

Christian Vacher est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université Paris Diderot), praticien hospitalier, service de chirurgie maxillo-faciale et stomatologie, hôpital Beaujon, Clichy.

René Yiou est professeur des universités en anatomie (faculté de médecine, Université Paris 12 Val-de-Marne), praticien hospitalier, service d'urologie, CHU Henri-Mondor, Créteil.

TOUTE L'UE 5 - ANATOMIE - COURS + QCM Organisation des appareils et des systèmes - Aspects morphologiques et fonctionnels ISBN: 9782294759239 2e édition, 2019

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